1. |
Jagwar
04:31
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Jagwar
D’ici tu as vu
Torrents de haine, nuées perdues
Des passagers n’ont pas choisi
Leur rang, le feu, ceux qui les mènent
La nuit venue, le jour violé,
Les âmes en peine, rêves niés,
Crient en silence, prient et re-prient
Pour surmonter l’inconséquence
L’oeil du Jaguar du rien renaît
L’oeil du Jaguar du rien renaît
Tu es revenu
De tes errances tu es revenu
Chargé de rien, empli pourtant
Privé des tiens, riche de toi
Même un désert fleurit parfois,
Si des nuages il est aimé
Le jour d’après, dans les débris,
L’oeil du Jaguar du rien renaît
L’oeil du Jaguar du rien renaît
L’oeil du Jaguar du rien renaît
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2. |
Mon Ombre
04:39
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Mon Ombre
D’un halo de lumière tu es baignée chaque fois
Que je vis,
Que j’y crois,
Alors dis
Oui…dis-moi
Quels lieux faut-il gagner, est-ce loin, fait-il froid ?
Dis, quels feux attiser, pour m’affranchir de toi ?
Au vent m’abandonner…
Dans rien voir du sacré
Mon ombre
Mon ombre
Reflet noir, je t’ai fui, bien en vain…tu es moi
Mais aussi,
Plus que ça,
Alors dis
Oui…dis-moi
Les regrets font ton lit, le soleil est ta loi
Au vent m’abandonner…
Dans rien voir du sacré
Mon ombre
Mon ombre
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3. |
Glasgow
04:22
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Glasgow
Lassé du prix, de la lumière, tout ira bien Glasgow
Les ombres lisses, que tu contournes, tout sera tien Glasgow
Sourdes à tes cris, leur goût amer
D ‘esquive en saut, j’ai cru savoir, soigne tes liens Glasgow
Rendu trop loin, le vent me glace, retiens-moi bien Glasgow
L’issue est un caprice, à voir
De ce miroir, que retiens-tu, s’il était tien Glasgow
De ces aimants, grandi ou pas, reprend mes mains Glasgow
Le temps d’avoir, n’est plus
Lassé du prix, de la lumière, tout ira bien Glasgow
Les ombres lisses, que tu contournes, tout sera tien Glasgow
Les vices que prit le temps, l’histoire.
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4. |
L'homme-Lune
03:38
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L’Homme-Lune
Tu sens le vent tourner
Tu vois dans les secrets
Et l’espace
Est à toi
D’aussi loin, de là-bas
Tes prières montent en moi
Des rivières
Glissent en toi
L’Homme-Lune
Ton sang est d’encre
Le vent
Est ta voix
L’Homme-Lune
Tu te tiens entre
Nos nuits (ton antre)
Et nos joies
De ta fièvre naît la pluie
De nos rêves, tes envies
Nos colères
Sont ta Foi
Entends-tu, reviens-moi
Mes prières vont vers toi
Tes lumières
Montent en moi
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5. |
Aluminium
03:44
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Aluminium
Aux pluies froides afghanes
Tu as trop songé
En sueur, à bécane
Tant fui, tant erré
Tes frissons et tes rages
La sève qui
Élève, prends-en ombrage
Ton âme irradie
Soumis aux feux cruels
Aveuglé, assoupi
Les saisons te rappellent
Entravé, tu oublies
Sous le fard, les mensonges,
Tu as croupi
Tous tes mots abscons
Pâle vernis
Aux nuits tièdes d’Espagne
Tu as tant rêvé
Au néant, aux étoiles,
Tu t’es frotté
Soumis aux feux cruels
Aveuglé, assoupi
Les saisons te rappellent
Entravé, tu oublies
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6. |
Le Grand Soir
03:47
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Le Grand Soir
J’ai pris ta main
Tu as pris le large
Farouche écrin
Sublime outrage
Si tu reviens
Fais-moi otage
Tu as ri de rien
J’ai bu tes larmes
J’ai dit…c’est rien
Tu as pris les armes
Si j’en reviens
Est-ce à la rame ?
Que d’y rester, autant croire
Au temps béni, au grand soir
Que d’y rester, autant croire
Au temps béni, au grand soir
Que d’y rester, autant croire
Au temps béni, au grand soir
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7. |
Nuit Marine
04:54
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Nuit Marine
Une nuit marine, les orques s’écharpent
Une nuit marine, s’échouent, dérivent
Récif tu m’aiguilles, m’épies, m’immerges
Une nuit marine, des hordes, de vives
Tu m’as pris pour cible, transi, j’abrège
Une nuit marine, repli, je file
Aurais-tu résisté aux mirages aquatiques ?
Aux sirènes, aux lumières, à ce phare électrique ?
Aveuglé que tu étais, grisé d’embruns, de remous et de vent
Dans ta course effrénée vers ce large qui ment
Et si les abysses n’ont pas raison de toi
Si la promesse d’une terre te ramène vers moi
Aveuglé que tu étais, épris d’embruns, de rouleaux et de vent
Dans ta fuite éperdue vers ce large qui ment
Esquif tu t’échines, repris, j’en crève
Une nuit marine, tes lois, font rage
Oublions l’esquive, j’épouse la grève
Une nuit marine, rideau, naufrage
Tu as donc succombé aux écueils, au grand vide
Etait-ce un horizon, l’appel des néréides ?
Aveuglé que tu étais, grisé d’embruns, de remous et de vent
Dans ta course effrénée vers ce large qui ment
Alors la nuit, j’irai poser, comme ça,
Mes mains sur ce rocher, ton repaire, et ta croix,
Aveuglé que tu étais, épris d’embruns, de rouleaux et de vent
Dans ta fuite éperdue vers ce large qui ment
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